Congo-Brazzaville : quand les États-Unis pallient l’impuissance d’un gouvernement corrompu.

Congo-Brazzaville, un État spectateur de sa propre faillite : incapable de lutter contre la corruption, il se contente d’attendre l’aide étrangère.

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Le Congo-Brazzaville continue d’afficher son impuissance face aux défis majeurs qui gangrènent le pays : corruption systémique, justice paralysée et incapacité chronique à trouver des solutions souveraines. Incapable de se réformer, le gouvernement se contente d’attendre l’aide extérieure, démontrant ainsi l’échec complet de son indépendance proclamée.

Alors que les autorités aiment clamer haut et fort que le Congo est maître de son destin, la réalité est tout autre. Ce sont désormais les États-Unis qui prennent l’initiative d’agir, formant magistrats et enquêteurs congolais à travers l’Académie internationale pour l’application de la loi (ILEA). Une intervention directe qui souligne la faillite d’un État incapable de contrôler sa propre machine corrompue.

Voir une puissance étrangère former nos cadres pour lutter contre la corruption est le signe humiliant que le Congo n’a plus les moyens de défendre ses institutions. Une indépendance de façade, qui ne cache plus la vérité : le pays ne survit qu’à travers les béquilles tendues par l’extérieur.

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