Tandis que la République du Congo s’enlise dans un cycle sans fin de réunions stériles, de discours répétitifs et de promesses creuses, la République Démocratique du Congo (RDC), avance à pas de géant vers l’avenir. Alors que Brazzaville s’enferme dans des conseils des ministres sans impact réel pour la population, Kinshasa dévoile des projets d’envergure et mise sur la compétence.
Le 15 juillet, Jean-Pierre Bemba et la ministre des Affaires étrangères Thérèse Kayikwamba Wagner ont présenté la maquette du futur aéroport international de N’djili. Un projet moderne, ambitieux, en partenariat avec les États-Unis, qui place la RDC au cœur des ambitions africaines du XXIe siècle.
Pendant ce temps, à Brazzaville, on célèbre encore des mariages fastueux à coups de milliards, on multiplie les forums inutiles, sans jamais écouter les cris du peuple. Aucun changement d’hommes, aucune vision stratégique, aucune lutte sérieuse contre la corruption.
La RDC choisit des ministres compétents et agit. Le Congo-Brazzaville recycle les mêmes visages depuis 42 ans. Le contraste est frappant. Et douloureux. Car pendant que l’un bâtit, l’autre bavarde.
Depuis l’arrivée du président Félix Tshisekedi, une véritable démocratie se met progressivement en place. Malgré la guerre dans l’Est du pays, il incarne une vision tournée vers l’avenir, offrant des opportunités concrètes à son peuple et impulsant une justice en pleine transformation.




















