Échec de Firmin Édouard Matoko à l’UNESCO : quand la corruption d’État ridiculise tout un pays.

L’échec de Firmin Édouard Matoko à l’UNESCO révèle une fois de plus la corruption et l’amateurisme d’un régime qui utilise chaque opportunité pour piller le trésor public. Après 42 ans de pouvoir, le Congo autrefois respecté devient la risée du continent, trahi par l’incompétence et les intérêts personnels.

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L’échec de Firmin Édouard Matoko à la direction de l’UNESCO n’est pas un hasard. C’est le résultat direct d’un système politique pourri par les calculs personnels, la corruption et l’improvisation d’un régime à bout de souffle. Au lieu d’une stratégie diplomatique claire, le pouvoir s’est une fois de plus servi de cette candidature comme d’un prétexte pour piller le trésor public. Le scénario est bien connu : on invente une “opportunité”, on propose un candidat crédible pour justifier la sortie de fonds, puis on soumet le projet à Denis Sassou Nguesso afin d’obtenir son feu vert et sa bénédiction politique. Le tout, pour donner une apparence de sérieux à une vaste opération de détournement collectif.

Les ministres impliqués ont profité de cette campagne pour voyager aux frais de l’État, empocher l’argent du peuple et, au passage, ridiculiser le Congo devant l’Union africaine et la communauté internationale. Résultat : seulement deux votes pour notre candidat. Une honte nationale. Voilà la véritable raison de cet échec : l’absence de vision, la corruption d’élite et l’irresponsabilité d’un régime incapable de défendre les intérêts du Congo. Après 42 ans au pouvoir, Denis Sassou Nguesso et son entourage ont transformé un pays autrefois respecté en risée du continent, incapable de former, de nourrir ou d’offrir un avenir à sa jeunesse.

Même nos voisins se moquent désormais d’un Congo qui fut jadis une fierté africaine.
L’histoire retiendra qu’en 2025, nous avions un candidat compétent pour l’UNESCO, mais qu’un gouvernement corrompu et sans honneur a choisi de le sacrifier, préférant l’argent facile à la dignité nationale.

L’ancien ministre du tourisme et des antiquités, qui succédera à la Française Audrey Azoulay, a largement remporté le poste de directeur de l’organisation onusienne avec 55 voix, contre deux seulement pour le Congolais Firmin Edouard Matoko.

Les deux seuls votes obtenus par Firmin Édouard Matoko proviennent de :

  • La République du Congo, du côté de son père ;
  • Le Viêt Nam, du côté de sa mère.
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