Félix Tshisekedi brille à l’ONU, Denis Sassou Nguesso s’enfonce dans la trahison et l’isolement.

Félix Tshisekedi devient vice-président de la 80ᵉ Assemblée générale de l’ONU, symbole d’une RDC en plein essor diplomatique. Pendant ce temps, Denis Sassou Nguesso, après 42 ans de pouvoir, s’enlise dans la trahison et l’isolement.

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Congo (RDC)

Le président de la République Démocratique du Congo (RDC), Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a été désigné vice-président de la 80ᵉ Assemblée générale des Nations unies qui se déroule à New York. Cette fonction lui confère la capacité de remplacer le président en cas d’absence, de présider certaines sessions des commissions et de veiller à la coordination des travaux de l’Assemblée.

Cette nomination n’est pas seulement symbolique : elle reflète la place grandissante de la RDC sur la scène internationale. Elle offre aussi à Félix Tshisekedi une tribune mondiale pour porter les grandes causes de son pays, notamment la reconnaissance du « Génocost » congolais, un point fort attendu de son discours du mardi 23 septembre 2025.

Pendant que la RDC s’impose et attire l’attention de nombreux dirigeants au point que l’agenda du président Tshisekedi est saturé de demandes de rencontres bilatérales , le Congo-Brazzaville vit une toute autre réalité.
Sous Denis Sassou Nguesso, 42 ans de pouvoir usé et corrompu, le pays s’enlise dans les compromissions, les cadeaux de terres aux multinationales et aux Chinois, sans aucun retour pour la population. Pis, Sassou a trahi son voisin et frère naturel, la RDC, en privilégiant ses accointances avec le Rwanda, l’allié du M23 et symbole de déstabilisation dans la région.

Aujourd’hui, l’ironie est amère : Brazzaville tend la main à Kinshasa, alors même qu’elle avait tourné le dos à la RDC lors du vote au Conseil de sécurité de l’ONU. Pendant que Tshisekedi s’affirme comme l’homme fort du continent africain, Sassou Nguesso apparaît comme un président isolé, réduit à quémander des entretiens auprès du voisin qu’il a méprisé.

La comparaison est sans appel :

  • Un président visionnaire qui défend son peuple et sa nation (Tshisekedi).
  • Un président archaïque, qui vend les terres, affame son peuple et s’accroche au pouvoir (Sassou Nguesso).

L’Histoire retiendra cette différence.

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