L’affaire Owoua Fidèle : horreur incestueuse au cœur du protocole de la résidence présidentielle du Congo.

Un scandale bouleversant éclate au sein de la résidence présidentielle du Congo, impliquant un capitaine de la gendarmerie accusé de viol incestueux sur sa propre fille. Une affaire grave qui interroge sur les mécanismes de recrutement et d’impunité au plus haut niveau de l’État.

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Abus, silence et impunité : quand l’indéfendable survient dans la résidence présidentielle.

Un scandale d’une extrême gravité éclabousse la résidence présidentielle du Congo. Le capitaine Owoua Fidèle, officier de la gendarmerie affecté au protocole présidentiel, est accusé par sa propre fille d’abus sexuels répétés depuis l’âge de 13 ans. Aujourd’hui âgée de 18 ans, la jeune femme affirme que son père l’a agressée durant plusieurs années, jusqu’à la mettre enceinte. Une grossesse extra-utérine, aux conséquences physiques et psychologiques lourdes, a été l’ultime épreuve pour cette victime de l’indicible.

La révélation a été faite à sa mère, séparée de l’officier depuis de nombreuses années. Le témoignage bouleversant de la jeune fille met en lumière un silence coupable et pose de graves questions sur les mécanismes de contrôle, de recrutement et de sanction au sein des forces de sécurité affectées à la présidence. Comment un tel individu a-t-il pu accéder à une position aussi sensible ? Quelles sont les institutions censées prévenir ces dérives ? Où sont les réponses des autorités compétentes face à de tels actes ?

Ce drame familial, devenu affaire d’État, exige des enquêtes urgentes et des mesures exemplaires. Nous appelons le président Denis Sassou-Nguesso à prendre ses responsabilités face à une affaire qui touche directement l’image de la plus haute institution du pays.

Une révélation de la Matinale :

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