Le jeudi 17 avril 2025, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté à une écrasante majorité – 155 voix pour – une résolution proclamant la Décennie des Nations Unies pour le boisement et le reboisement (2027-2036), marquant ainsi une avancée historique pour la protection de l’environnement mondial. Cette décision, fruit d’un plaidoyer constant du président de la République du Congo, Denis Sassou-N’Guesso, symbolise une victoire éclatante pour sa diplomatie verte et son engagement de longue date en faveur de la gestion durable des forêts.
Ce texte, présenté par le Congo, souligne l’importance cruciale des forêts dans la régulation du climat, la préservation de la biodiversité et le développement durable. Il appelle à une mobilisation collective des États, des organisations internationales, des peuples autochtones, de la société civile et du secteur privé pour soutenir cette décennie par des actions concrètes, des contributions volontaires et le partage des meilleures pratiques. L’objectif est clair : enrayer la perte du couvert forestier mondial et promouvoir un reboisement planétaire à large échelle.
À la COP29 à Bakou, Denis Sassou-N’Guesso a porté cette initiative à la tribune des Nations, saluant l’Azerbaïdjan pour l’organisation de cette conférence et lançant un appel à la conscience collective : « La dégradation de l’environnement constitue l’une des plus grandes menaces pour la survie de l’humanité », a-t-il déclaré. Le président congolais a invité les pays membres des BRICS+ à se placer à l’avant-garde de ce combat global en faveur de la planète, soulignant que cette décennie mondiale d’afforestation est un outil stratégique pour la régénération des écosystèmes et la résilience climatique.
Le vote massif en faveur de cette résolution confirme la reconnaissance internationale du rôle visionnaire de Denis Sassou-N’Guesso, que certains, à l’instar de l’écrivain et chercheur Michel Innocent Peya, qualifient de « leader écolo-visionnaire ». À travers ses discours, ses engagements et les politiques mises en œuvre au Congo, le président congolais a su faire de la lutte contre la déforestation une priorité nationale et continentale, bien avant que la question ne devienne un enjeu mondial.
L’inscription de cette décennie dans l’agenda onusien pour 2027-2036 est le couronnement d’un long combat entamé il y a plusieurs décennies. Dès les premières années de sa gouvernance, Denis Sassou-N’Guesso avait déjà fait de la forêt – notamment le massif du bassin du Congo, deuxième poumon vert de la planète – un pilier central de sa politique écologique. Aujourd’hui, cette vision portée aux plus hautes tribunes internationales trouve un écho favorable et se concrétise par une reconnaissance unanime.
Ce projet de décennie mondiale de l’afforestation ne se veut pas seulement symbolique : il s’agit d’un appel à l’action planétaire, fondé sur la solidarité internationale, pour sauver ce qu’il reste des forêts et construire un avenir durable pour les générations futures.
