Message du Président Denis Sassou N’Guesso sur l’état de la Nation –28 novembre 2025 : un discours vide, déconnecté et insultant pour un peuple qui souffre.

En 42 ans de règne, Denis Sassou N’Guesso n’a offert qu’un discours creux, déconnecté et auto-glorifié. Incapable de répondre aux crises, il ne brandit plus que la peur pour masquer son incapacité à gouverner.

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Encore une fois, Denis Sassou Nguesso est monté devant le Parlement avec la même certitude arrogante : tout va bien au Congo. Après 42 ans de pouvoir, quelques inaugurations bricolées à la hâte suffisent, selon lui, pour mériter les applaudissements d’un peuple qu’il maintient dans la misère. Son allocution n’a été qu’une suite de paroles creuses, d’évitements et de mensonges. Voici ce qu’il faut réellement retenir :

  1. La peur comme stratégie.
    Fidèle à son discours habituel, il commence par rappeler les guerres, comme si le traumatisme permanent était un outil de gouvernance.
  2. Le mensonge adressé à la jeunesse.
    Il prétend soutenir les jeunes alors que ce sont les premiers sacrifiés de son régime : sans emploi, sans avenir, sans perspective.
  3. L’aveuglement volontaire face aux voleurs publics.
    Il parle de lutte contre la corruption alors qu’il protège ceux qui pillent l’État depuis des décennies. Dans son discours, les voleurs n’existent même pas.
  4. La glorification du minimum.
    Il ose présenter comme une victoire nationale l’arrivée d’une entreprise italienne pour fournir de l’eau potable… après 42 ans au pouvoir. Une humiliation transformée en triomphe.

Conclusion :
Pour Denis Sassou Nguesso, tout va bien. Pour lui, la souffrance quotidienne du peuple n’est qu’un détail. Son message réel est simple : “supportez encore, je n’ai rien à vous offrir”.

Le pays lui échappe, son gouvernement s’enfonce, et il tente désormais de brandir une dernière carte : la peur et l’autorité du Général Serge Oboa, comme si l’intimidation pouvait remplacer la gouvernance.

Un président qui n’a plus de solutions, plus de vision, et plus de légitimité… mais qui demande encore au peuple d’applaudir.

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