RDC en pleine ascension diplomatique, quand le Congo de Sassou s’enlise dans l’incompétence.

RDC : en moins de 10 ans, Félix Tshisekedi hisse son pays au sommet de la diplomatie mondiale, tandis qu’en 42 ans, Denis Sassou Nguesso a réduit le Congo-Brazzaville à l’ombre d’une diplomatie sans vision

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Regardez l’écart flagrant : en moins de dix ans, le président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a réussi à ramener la République Démocratique du Congo sur la scène internationale et diplomatique, redonnant à son pays une crédibilité perdue depuis des décennies. Pendant ce temps, au Congo-Brazzaville, Denis Sassou Nguesso, après plus de 42 ans de règne sans partage, a plongé la diplomatie congolaise dans un état de déchéance jamais égalé, confiant des postes stratégiques à des personnalités incompétentes et discréditées.

Où est passée la fameuse conseillère rwandaise Françoise Joly, que Thierry Moungalla avait vendue à l’opinion publique comme l’atout majeur capable de hisser la diplomatie congolaise au sommet ? Résultat : silence total et effacement complet. Pendant ce temps, l’exemple est sous nos yeux : la RDC, avec Thérèse Kayikwamba, ministre d’État aux affaires étrangères, s’impose avec brio. Ce mercredi, à l’ouverture de la session matinale du débat général à l’ONU, c’est elle qui a présidé avec autorité et rigueur la première session du débat général.

Dans le même temps, son président, Félix Tshisekedi, prenait la parole lors de la réunion de haut niveau du Conseil de paix et sécurité de l’Union Africaine. Une double présence stratégique, qui illustre une diplomatie active, crédible et respectée.

À l’opposé, la diplomatie congolaise sous Denis Sassou Nguesso se réduit à des discours creux et à des mises en scène sans résultats. 42 ans de pouvoir et aucune avancée tangible : seulement des échecs, des humiliations, et une image internationale ternie.

La comparaison est brutale : dix ans de construction en RDC contre quarante-deux ans de destruction au Congo-Brazzaville.

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