RDC–Qatar : Une Déclaration de Principes qui isole Kagame sur la scène internationale.

La Déclaration de Doha marque une étape cruciale vers la paix dans l’Est de la RDC, en affirmant la souveraineté nationale et le respect des institutions. Le président Tshisekedi réaffirme ainsi sa volonté de protéger les civils et restaurer l’autorité de l’État.

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La Déclaration de Principes récemment signée à Doha entre la République Démocratique du Congo et le groupe armé AFC/M23, sous la facilitation du Qatar, repose sur le respect scrupuleux de la Constitution congolaise, des Chartes des Nations Unies et de l’Union africaine, du droit international, ainsi que des résolutions du Conseil de sécurité, en particulier la Résolution 2773. Elle s’inscrit également dans la dynamique de l’accord de Washington.

Ce texte intègre les lignes rouges que le gouvernement congolais a toujours défendues, notamment le retrait immédiat et non négociable de l’AFC/M23 des zones occupées, suivi du redéploiement effectif des institutions de l’État : FARDC, PNC, justice et administration civile.

La déclaration contient des engagements concrets en faveur de la paix, de la protection des populations civiles et de la souveraineté nationale. Elle ouvre ainsi la voie à un accord de paix global, attendu dans les prochains jours, pour mettre fin durablement au conflit qui ravage l’Est de la RDC.

Cet engagement répond à la volonté claire du président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, guidé par son attachement profond à son peuple et sa détermination à rétablir la paix sur l’ensemble du territoire national.

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