République du Congo – Le scandale des “bus Mal à l’aise” : quand le pouvoir vole et espionne son peuple.

Scandale au Congo : les bus Mal à l’aise de la STPU, sous le contrôle du ministre Gilbert Ondongo, servent à espionner la population et à détourner l’argent public, pendant que les employés restent sans salaire. Un nouvel affront aux libertés des Congolais.

Actualités en temps réel
Divulgation: Ce site Web peut contenir des liens d'affiliation, ce qui signifie que je peux gagner une commission si vous cliquez sur le lien et effectuez un achat. Je recommande uniquement les produits ou services que j'utilise personnellement et qui, selon moi, apporteront une valeur ajoutée à mes lecteurs. Votre soutien est apprécié !
Screenshot

Ces bus, financés par l’État, étaient officiellement destinés au transport public. Mais en réalité, ils ont été réaffectés par le gouvernement pour un tout autre objectif : espionner la population. Équipés pour recueillir des informations, ils servent à mesurer l’opinion des citoyens sur la candidature de Denis Sassou Nguesso et à identifier ceux qui s’opposent à ce projet hors-la-loi.

Derrière cette manœuvre se trouve Gilbert Ondongo, ministre d’État, ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Portefeuille public. Non seulement ces bus bafouent les libertés fondamentales des Congolais en transformant chaque trajet en séance de surveillance, mais ils constituent également une nouvelle source d’enrichissement personnel pour le ministre. Pendant qu’il détourne les ressources de l’État, les employés de la STPU, eux, attendent toujours leurs salaires impayés.

Ce scandale illustre une fois de plus la dérive autoritaire et prédatrice du régime Sassou Nguesso. Le peuple est humilié : au lieu de recevoir un service public digne, il se retrouve piégé dans des bus transformés en outils d’espionnage et de corruption.

⚠️ Message aux citoyens : si vous prenez ces bus, soyez extrêmement vigilants. Chaque mot prononcé peut être enregistré, et des agents infiltrés écoutent vos conversations à tout moment. Votre liberté d’expression, déjà piétinée, est désormais surveillée jusque dans vos déplacements quotidiens. »

Partager cet article