République du Congo – une démocratie de façade, un pouvoir de la peur.

La répression politique s’intensifie au Congo-Brazzaville : le pouvoir s’attaque désormais aux familles des opposants, comme celle de Castellin Cédric Balou. Une dérive autoritaire qui se heurte au silence complice des institutions internationales.

By
Actualités en temps réel
Divulgation: Ce site Web peut contenir des liens d'affiliation, ce qui signifie que je peux gagner une commission si vous cliquez sur le lien et effectuez un achat. Je recommande uniquement les produits ou services que j'utilise personnellement et qui, selon moi, apporteront une valeur ajoutée à mes lecteurs. Votre soutien est apprécié !

La chasse aux opposants politiques s’intensifie en République du Congo à l’approche des élections de 2026. Cette fois, c’est Castellin Cédric Balou, Le président du Parti du peuple ( Pape ), qui devient la cible des manœuvres répressives du régime de Brazzaville. Mais dans cette dérive autoritaire devenue la norme, le pouvoir ne se contente plus de harceler les voix dissidentes, il attaque désormais les familles.

La récente interpellation de la belle-sœur de Castellin Cédric Balou n’a qu’un seul but : intimider, humilier, briser psychologiquement ceux qui osent résister. Jusqu’où ira ce régime pour étouffer toute contestation ? Où sont les institutions censées veiller sur les droits humains ? L’Union européenne, les ONG internationales, les défenseurs des libertés tous brillent par leur silence assourdissant.

À quoi bon parler d’État de droit quand les lois ne servent qu’à protéger un pouvoir illégitime ? À quoi bon créer des institutions « indépendantes » quand elles ne lèvent jamais le petit doigt face à l’indignité ? La démocratie congolaise est devenue un mot creux, scandé dans les discours à l’étranger, pendant qu’à l’intérieur du pays, l’arbitraire règne et la peur gouverne.

L’heure n’est plus aux illusions. Il faut nommer les choses : ce pouvoir ne défend pas la paix, il défend sa survie. Et pour cela, il piétine les libertés, traque les opposants et sacrifie l’espoir. Une fois de plus, la République du Congo se retrouve seul face à sa douleur, pendant que la communauté internationale détourne les yeux.

Partager cet article