Rwanda – Les derniers combattants FDLR, expulsés de la RDC, sont arrivés au camp de Mutobo en 2018.

Le Rwanda continue de brandir la menace des FDLR malgré un accord de paix signé, révélant une stratégie discutable face à une situation régionale de plus en plus tendue. Les faits récents pointent vers un rôle d’agresseur difficile à nier.

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Mensonge ou vérité ? À vous de juger.

Dans une interview accordée à Jeune Afrique, le ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe, conditionne toujours la levée des mesures défensives du Rwanda à la « neutralisation complète des FDLR ». Pourtant, un accord de paix ambitieux a été signé le 27 juin 2025 sous l’égide des États-Unis.

Mais que vaut réellement cet accord quand l’une des parties continue d’agiter l’épouvantail des FDLR comme prétexte ? Le discours du ministre rwandais démontre une posture figée, voire hypocrite, face à une situation pourtant claire : les faits récents renforcent la perception du Rwanda comme agresseur dans la région. Il est peut-être temps, pour le bien même du Rwanda, de faire ses bagages et de changer de cap.

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