Face à l’opacité des accords signés depuis 2022 incluant la cession de 12 000 à 22 000 hectares de terres agricoles, des protocoles de coopération économique, des concessions minières et un partenariat en matière de défense les Congolais tirent la sonnette d’alarme et disent NON. Ces accords sont perçus comme une menace directe à la souveraineté nationale et une violation flagrante de l’article 219 de la Constitution, qui impose un référendum pour toute cession de terres.
Au-delà des terres agricoles, les accords concernent également des privilèges accordés au Rwanda dans les zones économiques spéciales, des droits d’exploitation de ressources minières, ainsi qu’un appui militaire stratégique. La population congolaise dénonce ces arrangements comme anticonstitutionnels, déséquilibrés et contraires aux intérêts du pays.
Aujourd’hui, les citoyens exigent :
- La publication intégrale des accords signés,
- La suspension immédiate de toute cession de terres,
- Et le retrait total des partenariats jugés prédateurs.


