Alors que la République du Congo traverse une crise économique, sociale et morale profonde, une annonce inattendue vient semer le trouble : la signature d’un partenariat de quatre ans entre l’État congolais et le club français de football Olympique Lyonnais, désormais dirigé par Michele Kang. Ce contrat, qui prendra effet en septembre 2025, suscite de sérieuses interrogations sur sa légalité, sa transparence et ses véritables objectifs.
❌ Une violation flagrante de la Constitution
Ce contrat a été conclu directement par le président Denis Sassou Nguesso, sans la moindre consultation de l’Assemblée nationale. Un tel acte unilatéral constitue une violation flagrante de la Constitution congolaise, portant atteinte à la séparation des pouvoirs et affaiblissant encore davantage les institutions de la République.
🔍 Un contrat sans transparence, au bénéfice de qui ?
Aucune information concrète n’a été communiquée au public sur les montants engagés, les modalités de financement, ni les bénéfices exacts pour le peuple congolais.
- Le Congo finance-t-il le club français sous couvert de « partenariat » ?
- Quels sont les retours attendus pour les jeunes sportifs locaux ?
- Est-ce un contrat de vitrine destiné à masquer des flux financiers douteux ?
À défaut de réponses claires, ce contrat ressemble à une opération de communication politique dissimulant un accord déséquilibré et potentiellement nuisible à l’intérêt général.
⚠️ Une mascarade de développement sportif ?
Selon les déclarations officielles, ce partenariat viserait à « former et développer le football au Congo ». Mais comment un pays incapable de payer ses propres athlètes et entraîneurs peut-il sérieusement s’engager dans un programme de formation à l’international ?
Les infrastructures sportives tombent en ruine, les sportifs crient leur misère, et même les fonctionnaires attendent toujours leurs salaires. Dans ces conditions, cette initiative sonne comme une insulte au peuple congolais.
🤝 Un club prestigieux… et complice ?
La responsabilité morale du club français OL n’est pas à ignorer. Comment un grand club européen peut-il s’associer avec un État largement reconnu pour ses dérives autoritaires, sa corruption chronique et sa mauvaise gouvernance ? En acceptant un tel contrat, l’OL se rend complice d’un système opaque qui utilise le sport pour vernir une réalité politique désastreuse.
Alors que la République du Congo traverse une crise économique, sociale et morale profonde, une annonce inattendue vient semer le trouble : la signature d’un partenariat de quatre ans entre l’État congolais et le club français de football féminin Olympique Lyonnais, désormais dirigé par Michele Kang. Ce contrat, qui prendra effet en septembre 2025, suscite de sérieuses interrogations sur sa légalité, sa transparence et ses véritables objectifs.
❌ Une violation flagrante de la Constitution
Dans un pays régi par des lois, un engagement international ou financier signé au nom de la République ne peut se faire sans passer par le Parlement. Or ici, c’est le président Denis Sassou Nguesso lui-même qui a conclu ce contrat sans aucune consultation de l’Assemblée nationale. Ce geste unilatéral constitue une violation manifeste de la Constitution congolaise, fragilisant davantage les institutions de la République.
🔍 Un contrat sans transparence, au bénéfice de qui ?
Aucune information concrète n’a été communiquée au public sur les montants engagés, les modalités de financement, ni les bénéfices exacts pour le peuple congolais.
- Le Congo finance-t-il le club français sous couvert de « partenariat » ?
- Quels sont les retours attendus pour les jeunes sportifs locaux ?
- Est-ce un contrat de vitrine destiné à masquer des flux financiers douteux ?
À défaut de réponses claires, ce contrat ressemble à une opération de communication politique dissimulant un accord déséquilibré et potentiellement nuisible à l’intérêt général.
⚠️ Une mascarade de développement sportif ?
Selon les déclarations officielles, ce partenariat viserait à « former et développer le football au Congo ». Mais comment un pays incapable de payer ses propres athlètes et entraîneurs peut-il sérieusement s’engager dans un programme de formation à l’international ?
Les infrastructures sportives tombent en ruine, les sportifs crient leur misère, et même les fonctionnaires attendent toujours leurs salaires. Dans ces conditions, cette initiative sonne comme une insulte au peuple congolais.
🤝 Un club prestigieux… et complice ?
La responsabilité morale du club français OL n’est pas à ignorer. Comment un grand club européen peut-il s’associer avec un État largement reconnu pour ses dérives autoritaires, sa corruption chronique et sa mauvaise gouvernance ? En acceptant un tel contrat, l’OL se rend complice d’un système opaque qui utilise le sport pour vernir une réalité politique désastreuse.

